Resident Evil FR


Romans Resident Evil

Romans Resident Evil



Ecrits par Stephani Danielle Perry (ou S.D Perry), les romans ont été publiés à partir de 1998 aux USA. En France, c’est à partir de 2002 aux éditions Fleuve noir (collection Resident Evil). Et en 2014, les éditions Milady les ont réédités pour notre plus grand plaisir. Contrairement aux films, c’est plus fidèle aux jeux. Même si l’auteur prend l’aisance d’ajouter des éléments nouveaux (comme des personnages), cela reste assez proche de l’univers de RESIDENT EVIL et peut permettre de mieux le comprendre (attention toutefois aux quelques incohérences). Seuls les romans 2 et 4 sont ‘inédits’ (et n’ont aucun rapport avec les jeux). Néanmoins ils restent intéressants en compléments, et sont une lecture que nous vous préconisons, ne serait-ce que par curiosité. Lire les romans de S.D Perry sera très agréable à faire.



SOMMAIRE :


La Conspiration d’Umbrella (Tome 1)
La Crique de Caliban (Tome 2)
La Cité des Morts (Tome 3)
Aux Portes de l’Enfer (Tome 4)
Nemesis (Tome 5)
Code Veronica (Tome 6)
Zero Hour (Tome 7)

Les novélisations indédites
Les livres des films

Critique des Romans de S.D. Perry

Romans Resident Evil

Première parution (France) : 2002 / Réédition : 2014 / Auteur : S.D Perry

– Note 9/10

Raccoon City, 2 juin 1998 : Le cadavre mutilé d’Anna Mitaki a été retrouvé hier sur un terrain vague proche de son domicile, faisant d’elle la quatrième victime en un mois des présumés ‘tueurs cannibales’. Selon le rapport du coroner, Anna Mitaki a été en partie dévorée : les traces de morsures relevées sur son corps, comme sur celui des autres victimes, semblent correspondre à des mâchoires humaines. Après ce nouveau meurtre, les autorités font appel aux S.T.A.R.S., les fameux Special Tactics And Rescue Squads, pour mettre un terme à la vague de violence qui secoue la ville. Cette petite unité composée des meilleurs spécialistes est formée pour affronter les pires dangers. Mais ce qu’elle va découvrir derrière les portes d’un manoir abandonné défie l’imagination : des créatures effroyables, nées d’expérimentations génétiques interdites, assoiffées de sang humain… La confrontation avec les S.T.A.R.S. s’annonce bien inégale…

Pour ma part, j’avais adoré ce roman. Il reprenait parfaitement l’ambiance du jeu, et l’auteur se forcait à ajouter une cohérence au scénario (dont on ne disposait pas à l’époque) et son support de base. Il retranscrivait parfaitement les différents moments du jeu et on ne se sentait nullement dépaysé. Un nouveau personnage du nom de Trent apparait. Personnellement, je trouve l’apparition de ce personnage très judicieux.

– Blizzard



Romans Resident Evil

Première parution (France) : 2002 / Réédition : 2014 / Auteur : S.D Perry

– Note 7/10

Raccoon City, 29 juillet 1998 : Les autorités ont créé la surprise en annonçant hier que les S.T.A.R.S., ce commando d’intervention spécial, était officiellement relevé de l’enquête sur les neuf meurtres barbares et les cinq disparitions qui ont bouleversé la ville récemment. Le fiasco de leur dernière intervention (au cours de laquelle six des onze membres de l’équipe ont disparu) est à l’origine de cette sanction. Les membres du commando qui ont survécu savent parfaitement qu’ils sont victimes de la Conspiration d’Umbrella : un redoutable organisme qui poursuit des expériences génétiques interdites visant à ressusciter les morts… Ils décident de se mettre à couvert pour mieux détruire Umbrella. Mais le virus mis au point par la Conspiration fait déjà des ravages… Y compris chez les S.T.A.R.S. eux-mêmes !

On retrouve Rebecca pour cet épisode ‘inédit’ se situant entre RE1 et RE2. Les zombies ne sont plus de simples loques sans cervelles dans ce tome. Ils représentent ainsi une menace sous un nouveau jour. On fait la connaissance de personnages inédits et on apprend même ce que sont devenus Chris, Jill et Barry après la fin du 1. J’avais également beaucoup aimé ce tome de par son ambiance et le récit plutôt bien construit. Je salue également le culot d’avoir écrit une histoire nouvelle, qui se détache des jeux. Un essai réussi je trouve.

– Blizzard



Romans Resident Evil

Première parution (France) : 2002 / Réédition : 2014 / Auteur : S.D Perry

– Note 8/10

26 septembre 1998 : Leon Kennedy, un jeune policier, arrive à Raccoon City pour commencer une nouvelle vie. Mais la nuit, Raccoon City se transforme en une ville fantôme, sans âme qui vive, au silence troublé par des gémissements étranges. Claire Redfield, la soeur de Chris, un des membres disparus du commando des S.T.A.R.S., se rend également à Raccoon City pour retrouver la trace de son frère. Ce qu’elle découvre lui fait craindre le pire. Très vite, Leon et Claire se trouvent confrontés aux monstres sanguinaires créés par les manipulations génétiques de la Conspiration d’Umbrella. Ils sont des proies idéales pour les morts-vivants affamés. Comment leur échapper ?

Adaptation de RE2 bien sûr… A nouveau, très bonne retranscription, on ressent bien l’ambiance des rues de Raccoon, et on reconnait sans mal les scènes cultes du jeu. Quel plaisir de retrouver les aventures de Leon et Claire couchées sur papier. Cela nous laisse également le temps d’approfondir la psychologie des personnages. Certes, SD Perry prend quelques libertés, mais puisque un bon nombre de choses n’avaient pas été définies par Capcom…(comme la psychologie des persos entre autre) pourquoi se priver de le faire ? Certains n’apprécient pas… moi j’adhère. ^^

– Blizzard



Mangas Resident Evil

Première parution (France) : 2002 / Réédition : 2014 / Auteur : S.D Perry

– Note 5/10

Raccoon City, 18 octobre 1998 : De nouvelles preuves indiquent que le ‘syndrome de Raccoon’, la maladie responsable des sept mille deux cents morts dénombrés à ce jour, aurait pu être propagée par le chef de la police locale, Brian Irons, avec la complicité de plusieurs membres des S.T.A.R.S. La société Umbrella a une fois de plus réussi à se sortir sans une égratignure, et même avec les honneurs, de cette effroyable tragédie dont elle est entièrement responsable. Mais les ex S.T.A.R.S. n’ont pas dit leur dernier mot. De plus en plus isolés face à cette compagnie d’une puissance diabolique, ils refusent pourtant de baisser les bras. D’autant que, d’après le mystérieux M. Trent, Umbrella s’apprêterait à ouvrir un nouveau laboratoire en Utah pour poursuivre ses abominables expériences. Une expédition qui ne durera qu’une nuit… mais une nuit plutôt mouvementée !

Novélisation inédite à nouveau. Que dire de ce tome ? A part que c’est certainement l’un de ceux que j’aime le moins… on ne retrouve pas nos amis les zombies… le scénario est très moyen (et commence à être répétitif)… quelques idées bizarres (des lamas zombifiés si je me souviens bien)… Bref ! On a vu mieux ! De plus, je n’aime pas trop le fait d’avoir associé Rebecca, Claire et Leon dans la même histoire. Je trouve que ça ne colle pas. L’ambiance qui se dégage reste sympa : une sorte de huit-clos avec un système de ‘stages’ sur le site du laboratoire (seuls ceux qui ont lu pourront comprendre)… Petite consolation : on commence à en savoir un peu plus sur Trent.

– Blizzard



Romans Resident Evil

Première parution (France) : 2002 / Réédition : 2014 / Auteur : S.D Perry

– Note 4/10

L’enfer sur terre, ça existe. Une folie indescriptible s’est abattue sur la ville de Raccoon, devenue en quelques jours le royaume des morts-vivants cannibales. Carlos Oliveira, parachuté dans cette démence avec sa section de mercenaires, sort miraculeusement indemne du premier affrontement avec les zombies. Il rencontre alors Jill Valentine, membre du commando des S.T.A.R.S. A eux deux, ils vont découvrir que les zombies affamés ne sont pas les seuls dangers qui les guettent. Il y en a de pires. Comme le Nemesis, tyran hypersophistiqué et programmé pour tuer les S.T.A.R.S. ou un certain officier russe déjanté… Ce n’est pas le moment de s’endormir… Il va y avoir du sport !

Je ne sais pas si SD Perry a eu une baisse de régime aussi avec ce volume mais j’ai très peu apprécié ce tome également (bien que reprenant le jeu éponyme). Ceci dit, si mes souvenirs sont bons, lorsqu’on en avait parlé ensemble (sur le forum, ndlr), c’était le préféré de beaucoup d’entre vous. Tous les goûts sont dans la nature (pour ça que vous devez bien faire attention: les notes que j’attribue sont purement subjectives). Bref, je m’éloigne de mon sujet. Pourquoi n’avais-je pas aimé ce volume ? Je me souviens surtout d’une chose qui m’avait marqué : trop de passage étaient zappés ou expédiés en vitesse. Du coup, j’avais l’impression que le récit était légèrement décousu, et même si c’était des détails qui étaient manquants, c’est justement ce qui est important pour la cohérence de l’univers. RE 3 n’étant pas le jeu de la saga que j’aime le plus, cela justifie peut-être aussi mon avis tranché.

– Blizzard



Romans Resident Evil

Première parution (France) : 2002 / Réédition : 2014 / Auteur : S.D Perry

– Note 6/10

Capturée au Q.G. administratif d’Umbrella, à Paris, Claire est débarquée à l’île de Rockfort, une des bases de la compagnie pharmaceutique. A peine est-elle arrivée que l’île subit un raid aérien. Claire se retrouve une fois de plus aux prises avec les zombies et autres épouvantables créatures sorties des sinistres laboratoires d’Umbrella. Heureusement, il y a Steve, lui aussi injustement emprisonné. Tous les deux affronteront de redoutables ennemis – dont Alfred Ashford et Alexia, sa géniale et diabolique jumelle. Avec, en prime, un petit détour par l’Antarctique. Frissons garantis…

Bizarrement, c’est le volume dont je me souviens le moins. Mais je ne me souviens pas avoir été spécialement déçu. Le scénario de RE Code Vero étant l’un des plus constructif (c’est relatif), l’écriture et donc la lecture du roman en est que plus intéressante. Et puis c’est un plaisir de retrouver mes personnages préférés (à savoir Claire et Chris).

– Blizzard



Romans Resident Evil

Première parution (France) : 2002 / Réédition : 2014 / Auteur : S.D Perry

– Note 6/10

Elle n’a que dix-huit ans mais fait déja partie des S.T.A.R.S, commando choc de la police de Raccoon City. Il en a vingt-six et a été condamné à mort pour le meurtre de vingt trois personnes. Et pourtant Rebecca et Billy devront faire équipe toute une nuit, une interminable nuit dans le centre d’expérimentation d’Umbrella, cette redoutable compagnie qui fabrique des armes biologiques monstrueuses. A eux les petits zombies affamés, les king-kong surdimensionnés et les sangsues tueuses. Avec, en prime, une autodestruction programmée des lugubres locaux. La totale. Bienvenus sur le terrain de jeu du Dr James Marcus – savant complètement givré­ et officiellement mort depuis dix ans.

Nous avons bien évidemment ici à faire à l’épisode 0 de la série. Au moins, on peut dire que SD Perry aime beaucoup Rebecca (elle apparait dans 4 romans sur 7). Ni bon, ni mauvais, il n’apportait rien de spécial… mais avec un support de base, tel, il était difficile d’en être autrement. Mais le texte reste fidèle au jeu.

– Blizzard



Romans Resident Evil

ROSE BLANK – de Tadashi Aizawa. (2002) / TODLICHE FREIHEIT – de Suiren Kimura. (2002)

– Non noté

Nous vous présentons deux novélisations inédites aux lecteurs français. Il existe bien une traduction allemande (dont vous voyez les couvertures), mais rien pour nous, hélas…

Il ne s’agit pas de suite directe des romans de Perry malgré la suite dans les numéros des tomes (8 et 9). Oui parce qu’il faut savoir qu’à l’étranger, le roman Zero Hour comporte sur la tranche le numero ‘zéro’ et non 7…et que Genesis (voir plus bas) n’est bien sûr pas inclus en tant que numéro 9 dans la collection. En tout cas les couvertures en jettent et fond saliver… (soupir !)

– Blizzard



Romans Resident Evil

Sortie France : 2002 – de Thomas Day – Editions : Denoël

– 5/10

Enterrée profondément sous la ville de Raccoon City, la Ruche est un complexe scientifique ultra-secret appartenant à la multinationale, Umbrella Corporation. Au sein de ses laboratoires travaillent cinq cent trente-trois informaticiens et chercheurs en virologie. Aujourd’hui, à 15 h 16 heure locale, le complexe, a été attaqué. II n’y a aucun survivant. Qui est à l’origine de cet effroyable carnage ? C’est ce que doit découvrir le commando STAR, une équipe de soldats surentraînés dépêchée sur les lieux. Mais que peuvent de simples mortels confrontés au mal absolu ? Huit cents mètres sous terre, personne ne vous entend crier.

Bon, ben… c’est la novélisation du premier film. Ni plus, ni moins. On y retrouve l’exacte retranscription à la phrase près.





Romans Resident Evil

Sortie France : 2004 – de Keith RA De Candido – Editions : Fleuve Noir

– 4/10

Raccoon City. Petite ville tranquille de Pennsylvanie. Enfin… tranquille jusqu’à ce que Umbrella Inc. s’y installe pour se livrer à ses recherches sur les armes biologiques. Un beau jour, c’est fatal, il y a un pépin. Un gros pépin. Un virus qui ranime les cellules mortes sort du labo où il était confiné. Et c’est la catastrophe. La ville n’est bientôt plus peuplée que de morts-vivants cannibales… Affreux. Et après avoir bouclé la ville, Umbrella Inc. lâche sur la poignée de survivants – Jill, Alice, Carlos et les autres – son redoutable titan génétiquement concocté. Accrochez-vous. Le trip ne sera pas de tout repos…

N’aimant vraiment pas ce second film, je ne m’attarderai pas trop sur le livre. Il respecte le film (et donc pas le jeu). Et c’est bien tout ce qu’on lui demande… ou pas. ^ ^





Romans Resident Evil

Sortie France : 2005 – de Keith RA De Candido – Editions : Fleuve Noir

– 7/10

Matt Addison n’a plus qu’une idée en tête abattre Umbrella, la puissante multinationale qui fabrique des armes biologiques dans ses laboratoires secrets. il infiltre alors sa sœur Lisa dans la Ruche, le complexe souterrain de la corporation, où la jeune femme trouve une alliée inattendue en la personne d’Alice Abernathy. Pour enfoncer Umbrella, celle-ci s’apprête à lui donner le redoutable virus-T capable de zombifier quiconque le respire. Mais elle est gagnée de vitesse par un individu moins bien intentionné qui, non content de voler le virus, le répand dans la Ruche. Bilan cinq cents victimes. Alice, elle, connaît l’existence de l’anti-virus. L’ennui, c’est qu’à son réveil, elle ne se souvient plus de rien…

Et oui… aussi bizarre que ça puisse être, une deuxième novélisation du premier film est sortie. Cette fois-ci, retour aux éditions Fleuve Noir (comme les romans de Perry, voilà pourquoi et avec une totale incohérence, ce tome est estampillé ‘tome 9’). L’auteur est légèrement plus inventif que Thomas Day cependant. Il ne se contente pas de reprendre mot pour mot le film, mais ajoute quelques éléments scénaristiques (psychologie des persos, on apprend le nom de Alice: Abernathy etc…). Mais ça reste de la novélisation d’un film de Paul Anderson (encore que pour moi, le premier film est le meilleur). Donc, pas facile de s’en tirer avec les mérites. Mais dans l’ensemble, je dois dire qu’il s’en sort plutôt bien. L’auteur ajoute vraiment quelque chose dans les romans par rapport aux films qui est appréciable (je vais y revenir au prochain).



Romans Resident Evil

Sortie France : 2007 – de Keith RA De Candido – Editions : Fleuve Noir

– 7/10

Ce troisième et dernier volet de la saga culte marque le point culminant du combat contre la toute-puissante Umbrella Inc. La belle, dangereuse et énigmatique Alice est de retour, plus forte et plus déterminée que jamais ! Cette fois, en compagnie de Carlos Oliveira, elle rejoint un groupe d’humains ayant survécu au virus d’Umbrella, pour traverser les régions dévastées des États-Unis, destination : l’Alaska. Hélas, l’infâme Samuel Isaac envoie ses sbires à leurs trousses, obligeant Alice et ses alliés à combattre des zombies avides de chair et des rats de laboratoires monstrueux assoiffés de sang… Mais Alice est elle aussi assoiffée. De revanche…

Comme chaque fois qu’un film est sortit, la novélisation n’a pas tardé à suivre… GENESIS… APOCALYPSE… et bien sûr maintenant l’épisode Extinction, toujours aux éditions Fleuve Noir… Bon, les novélisations sont en général pas terrible, mais ceci est plus dû au fait que les scénarios de bases sont déjà de qualités médiocres. Au premier feuilleté…oh agréable surprise ! Il est fait mention de Jill, Angie, etc… Mieux… il y a carrément tout un pan de l’histoire qui retrace les évènements entre Apocalypse et Extinction et ce que Jill a fait entre. De quoi apporter une cohérence un peu plus fournie dans le scénario. Bref, surement pas de la grande littérature, mais tout du moins une envie de compenser le scénario appréciable. Merci RA de Candido.




Critique sur les romans de S.D. Perry

Dans leur ensemble, les romans Resident Evil sont plus que corrects. Alors que le dernier tome écrit est Code Veronica (n’attendez pas qu’elle s’attaque aux épisodes 4, 5, 6 et 7 – elle n’est plus du tout concernée par la série), cette lecture offre encore de nos jours un angle de vue intéressant sur ce qu’est Resident Evil.

A l’époque, cela prenait encore plus de sens : les fins de jeux offraient toujours plusieurs possibilités, et il était assez difficile pour les fans d’identifier qui a vécu quoi, dans quel contexte, etc… Resident Evil 2 en est un exemple fort, et les sujets de débats entre fans à l’époque étaient nombreux et récurrents.

Ici donc, S.D Perry offre une direction à la fois claire, agréable, et qui plus est appréciable à lire pour un fan. Imaginez le temps passé à essayer d’extraire les données d’un jeu comme il faut, pour les rendre plus ou moins cohérentes… Et tout ça juste avec son expérience de gameuse, qui ne savait rien de plus que ce qu’elle voyait/lisait/vivait dans une partie (elle fut aidée par sa prod aussi, c’est à noter).

Certains prendront un grand plaisir à revivre les événements sans avoir besoin de ressortir leur vieille console et, bien que l’auteur prenne parfois des raccourcis (ou comble certains vides avec des ajouts personnels – personnages supplémentaires, histoires inédites, etc), au final nous avons quelque chose de tout à fait honnête pour un fan de Resident Evil (j’entends par là une cohérence de l’univers qu’elle donne, non pas une transcription au poil de fesse de RE, je précise pour les extrémistes :D).

Les épisodes principaux restent « fidèles » (malgré quelques incohérences), et selon celui que vous aimiez ou non à l’époque, vous apprécierait le roman (ou pas) ! 😉

S.D. Perry se paiera peut-être même le luxe de vous surprendre par instants, en mettant le doigt sur un élément de l’histoire qui vous aurez échappé…

Note globale : 7/10

– MrTrent